• Voici mon texte pour le concours de _Robert_

    Inventez un nouveau personnage de Another, celui du vainqueur sera intégré dans Project : Another.

    -ça peut être un criminel, un personnage qui ne fait pas partie d'Another, ou un membre d'Another (il sera intégré dans tous les cas si vous gagnez) 

    -Pas de restrictions quant à la longueur de la présentation : C'est libre je n'impose pas.

    Rapport d’enquête

    Rapport d’enquête


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  • Voici le texte de votre hôte pour le concours de Chiki le kiriLes règles du concours sont les suivantes: faire une description de lieu mystérieux sans utiliser de dialogue en 500 mots maximum. Celui-ci en contient 344.

     

      Dans les déserts du sud où jamais les larmes du ciel ne ruissellent, parmi les dunes, cacher des sables éternels. Ici s’élève des ruines antiques. Ancien temple dédié à la beauté de la stratège céleste. Ce sanctuaire vestige antique des Hommes se mue dans ces contrées perdu malgré sa majesté. Des piliers entourant l'enceinte il ne reste que décombres, seul quelque rescapée du passé soutiennent la voûte céleste de l’édifice et baigner dans les flots d'une lune qui ne semble vouloir se laisser aller au repos en cette région aréique, des statue semblant être horrifier par leur créateur lui même dessine un sentier menant l'escalier vers les tréfonds du monde. 

      Dans l’abîme humide où seul la froide lumière de quelque flambeau vous éclairent parmi les statues, pierres des morts, on peut entendre le chant des guerriers d’autrefois bercer le monde dans les limbes éternelles.

      Là, elle vie, éternelle beauté, de la déesse jalousée, maudite des vivants, bannie des morts. Et au milieux de ces amoures figés de son inaltérable passions, elle ce lamente et l'on peu entendre ces sanglots au travers des immenses ergs, champs de dunes blanches où s'écoule un fleuve corrompu, larmes des amants perdus.

      Parmi ces murs de pierres et ces statues d'améthyste, les âmes ne peuvent trouver la paix et au sein de ces ruines qui les ont vues naître, elles errent flottant au dessus des dalles de marbres. Ces spectres égarés attendent un être capable de conquérir leur geôlier et ébranler la malédiction qui les musellent en ces gargouilles immuables. Elles attendent la créature bienveillante qui ne sera pas envoûtée par les plaintes enchanteresses de la femme aux cheveux sifflants dans la clarté lunaire, et apaisera sa peine par le fer de sa vertu.

      C'est ici, en ces lieux maudits des éternels, au cœur de ces murs couverts d'un lierre brunâtre que les anciens scellèrent dans un coffre d'opale l'une des clés des 4 fleuves prenant source au royaume des défunts, seul trésors de la nymphe esseulée. Évitant ainsi aux Hommes de caresser le pouvoir suprême du démon originel.

     

    -Atilem-


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  • La vie est une guerre que seule la vie peut gagner. La mort n'est que la fin de la guerre, quand l'homme la mérite, il la reçoit. Se l’approprier est un vol a la vie.

    -Atilem-


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  • Voici un texte de Gaellah (et voici son blog) pour le concours de Chiki le kiri. Un concours auquel votre hôte participe (son texte).

    Les règles du concours sont les suivante: Faire une description de lieu mystérieux sans utiliser de dialogue  en 500 mots maximum.
    Bonne lecture.

     

     La nuit noire, la vieille maison toute en bois, la grande porte s'ouvrant dans un silence glaçant, l'escalier grinçant, les hululements du vent passant par les fenêtres mal isolées à faire froid dans le dos, ces grandes pièces totalement vides de vie. Les tableaux poussiéreux d'anciens propriétaires morts des siècles plus tôt, mais surtout leur regard perçant qui semblaient être vrais et qui vous donnaient l'impression d'être observé. L'orage résonnant à faire trembler les murs.

     Tout cela était tellement cliché.

     Pourtant, je ne pouvais pas m'empêcher d'avoir peur. Mais vous savez, de ce genre de peur que vous même savez ridicule au moment où vous tremblez.

     C’est alors qu’un rat apparut, se faufilant hors d’un mur. Il s’arrêta pour m’observer de ses yeux rouges. Pendant un instant, ça me rassura de voir qu’il y avait encore de la vie autour de moi. Mais ce moment passa bien vite et mon naturel reprit le dessus : je poussai un cri aigue qui le fit détaler. Je me retrouvai seule. De toute façon, je n'aime pas les rats.

    Je continuai mon ascension à travers les étages, j'étais sûre de trouver un grenier au bout.

    Il y avait en tout cinq étages. Je ne sais pas quel genre de pièce ils accueillaient car aucun ne me parut assez chaleureux pour aller le visiter.

     Il y avait bien un grenier. Et j'y ai découvert des souris. Pas de rats, heureusement. Toutefois, je suis quand même redescendue aussi sec au salon du rez-de-chaussée. 

     La pièce était sombre. Comme toute la maison. Il y avait bien de beaux lustres, mais sans ampoules ni bougies fondues. Je ne savais pas s'il y avait de l'électricité. Et je n'allais certainement pas essayer de tâter le mur pour trouver un interrupteur.

     La fenêtre m'attira et je contournai un canapé puis un fauteuil pour me cogner le pied dans une étagère avant de la rejoindre. Même dans le noir, j'arrivais à distinguer les arbres au loin qui formaient le grand jardin tout autour de la maison.

     Quand j'entendis un bruit.

     Je fis volte-face. Une ombre passa devant la porte du salon. Je déglutis et n’osai pas demander qui était là.

     C'est alors que la lumière s'alluma.

     Ce qui n'était pas possible pour des raisons évidentes que j'ai déjà évoquées. Cependant, sur le moment, ce n'est pas ça qui m'embêtait. En fait, c'est à peine si je l'avais remarqué.

     Un bruit assourdissant s'était élevé et me faisait mal aux oreilles. Devant moi se tenait un jeune homme avec des yeux fous, un sourire espiègle et des cheveux en bataille. Il esquissa un geste comme pour s'approcher de moi, mais avant que je ne puisse prendre peur, je le vis clairement disparaître sous mes yeux.

     Je me retournai alors pour découvrir un hélicoptère illuminer la fenêtre devant laquelle je me tenais.

     Comment avaient-ils fait pour trouver la maison ?   

    -Gaellah-


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  • L'étoile brille

    Dans le ciel de minuit

    Toutes les nuits.

    -Atilem-


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