• Plume amicale

    Ici des textes d'autres amateurs de lecture et d’écriture vous seront proposés.

    (si vous voulez figurer ici veuillez me contacter par message privé)

  • Voici un texte ma foi fort intéressant malgré quelques défauts. Il nous laisse à penser que Malia233 pourra nous surprendre si elle arrive a passer outre sa manière de casser le rythme de ses textes comme ici le BINGO.  Cependant cette jeune femme qu'elle nous pressente est presque attachante et l'on pourrait avoir l'envie de savoir qui est le sauveur et pour elle se fait mal ainsi jusqu'à la mort.
    Bonne lecture.

    Le soir je rentre chez moi après une journée comme d'habitude sans joie, sans bonheur juste le noir. Oui le noir comme d'habitude, mais ce soir contrairement aux autres soirs je rentre chez moi le sourire aux lèvres, je rentre, embrasse mon père sur la joue fais un gros câlin à mon chien et à mon chat, je monte et croise mon grand frère je le serre dans mes bras et lui dis que je suis désolée, il ne comprend pas pourquoi je m'excuse, mais il ne tardera pas à le comprendre , je pars faire un autre câlin à ma mère ce qui la surpris énormément. Je  repartis dans ma chambre, je saisis mon ancien ami que j'ai quitté quand mon sauveur est apparu. Je me saisis de mon ami et commence à le faire glisser sur ma peau. Je continue cette fois c'est de plus en plus profond toujours pas de veine. Et la troisième fois BINGO la veine est atteinte. Le sang coule à flot la douleur passe rapidement car mon bras s'endolorit et devient blanc très vite. Mes paupières sont lourdes je ferme les yeux, je n'entends plus rien juste un cri de mon père avant de succomber. Enfin le vide, le soulagement tout est fini et ce à jamais!    


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  • Voici un texte de Gaellah (et voici son blog) pour le concours de Chiki le kiri. Un concours auquel votre hôte participe (son texte).

    Les règles du concours sont les suivante: Faire une description de lieu mystérieux sans utiliser de dialogue  en 500 mots maximum.
    Bonne lecture.

     

     La nuit noire, la vieille maison toute en bois, la grande porte s'ouvrant dans un silence glaçant, l'escalier grinçant, les hululements du vent passant par les fenêtres mal isolées à faire froid dans le dos, ces grandes pièces totalement vides de vie. Les tableaux poussiéreux d'anciens propriétaires morts des siècles plus tôt, mais surtout leur regard perçant qui semblaient être vrais et qui vous donnaient l'impression d'être observé. L'orage résonnant à faire trembler les murs.

     Tout cela était tellement cliché.

     Pourtant, je ne pouvais pas m'empêcher d'avoir peur. Mais vous savez, de ce genre de peur que vous même savez ridicule au moment où vous tremblez.

     C’est alors qu’un rat apparut, se faufilant hors d’un mur. Il s’arrêta pour m’observer de ses yeux rouges. Pendant un instant, ça me rassura de voir qu’il y avait encore de la vie autour de moi. Mais ce moment passa bien vite et mon naturel reprit le dessus : je poussai un cri aigue qui le fit détaler. Je me retrouvai seule. De toute façon, je n'aime pas les rats.

    Je continuai mon ascension à travers les étages, j'étais sûre de trouver un grenier au bout.

    Il y avait en tout cinq étages. Je ne sais pas quel genre de pièce ils accueillaient car aucun ne me parut assez chaleureux pour aller le visiter.

     Il y avait bien un grenier. Et j'y ai découvert des souris. Pas de rats, heureusement. Toutefois, je suis quand même redescendue aussi sec au salon du rez-de-chaussée. 

     La pièce était sombre. Comme toute la maison. Il y avait bien de beaux lustres, mais sans ampoules ni bougies fondues. Je ne savais pas s'il y avait de l'électricité. Et je n'allais certainement pas essayer de tâter le mur pour trouver un interrupteur.

     La fenêtre m'attira et je contournai un canapé puis un fauteuil pour me cogner le pied dans une étagère avant de la rejoindre. Même dans le noir, j'arrivais à distinguer les arbres au loin qui formaient le grand jardin tout autour de la maison.

     Quand j'entendis un bruit.

     Je fis volte-face. Une ombre passa devant la porte du salon. Je déglutis et n’osai pas demander qui était là.

     C'est alors que la lumière s'alluma.

     Ce qui n'était pas possible pour des raisons évidentes que j'ai déjà évoquées. Cependant, sur le moment, ce n'est pas ça qui m'embêtait. En fait, c'est à peine si je l'avais remarqué.

     Un bruit assourdissant s'était élevé et me faisait mal aux oreilles. Devant moi se tenait un jeune homme avec des yeux fous, un sourire espiègle et des cheveux en bataille. Il esquissa un geste comme pour s'approcher de moi, mais avant que je ne puisse prendre peur, je le vis clairement disparaître sous mes yeux.

     Je me retournai alors pour découvrir un hélicoptère illuminer la fenêtre devant laquelle je me tenais.

     Comment avaient-ils fait pour trouver la maison ?   

    -Gaellah-


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